Il y a quelques jours, j’ai eu l’agréable surprise d’être contacté spontanément par un de nos nouveaux reviewers, The Publisher. Il souhaitait diffuser quelques informations pour faciliter la communication entre joueurs et reviewers, je ne peux qu’encourager ce genre d’initiative car il y en a vraiment besoin.
Note : Cet article n’engage que lui, et ne reflète pas forcément mes opinions personnelles, mais j’ai choisi de le diffuser pour une meilleure compréhension mutuelle dans la communauté. Il y a tellement de situations très différentes, et que je ne comprends pas toujours, que je ne porterai pas de jugement global.
La parole à The Publisher…
Avant-Propos
Cet article propose la traduction de l’excellent billet de blog écrit par Dick Nielson, reviewer aux États-Unis. Il propose dans cet article, de manière humoristique, comment éviter d’ennuyer la personne qui révise bénévolement vos caches soumises à la publication. Dans cet article, je propose donc la traduction de cette liste d’items, que j’ai trouvée très intéressante, et je propose également à la fin quelques éléments de discussion. L’article étant écrit en 2011, certains éléments ne sont plus d’actualité ou discutables avec les modifications du site ou des guidelines.
L’article original peut être retrouvé sur le blog de Dick Nielson (cliquer ici pour voir l’original). Merci encore à lui de me permettre de traduire cet article.
Comment ennuyer votre reviewer en 10 points ?
Dans cette partie de l’article, l’utilisation du ‘je’ se réfère à l’auteur de l’article original, à savoir Dick Nielson.
10 – Le reviewer triche
J’avais l’habitude de résoudre des caches mystères, c’était fun et j’aimais dire : « J’ai trouvé cette cache diabolique et j’ai résolu seul l’énigme ». Quand les gens ont découvert que j’étais reviewer, j’ai reçu quelques messages m’accusant de tricher pour résoudre la cache mystère. C’est tellement dur et je suis tellement idiot que je n’aurais pas pu la résoudre moi-même …
Ceci m’a enlevé l’aspect fun de résoudre des mysteries. J’en ai résolu un certain nombre et j’irai un jour ou l’autre les chercher, mais je ne sais pas quand.
D’autres pensent également que je donne l’emplacement de caches mystères. Je ne l’ai jamais fait et je ne compte pas le faire. On m’a proposé de l’argent et des repas, sous forme de plaisanteries durant les events, mais je n’ai jamais révélé l’emplacement d’une cache.
The Publisher: Si vous voulez connaître l’emplacement d’une cache, me contacter et prévoir un virement ou un chèque.
9 – En voyage de X vers Y, j’ai trouvé que cet endroit serait parfait pour une cache
Voici comment je me charge de ces cas. Quand je demande comment les maintenances seront réalisées, j’ai souvent la réponse : « j’archiverai la cache s’il y a des soucis ». C’est à ce moment là que je sais qu’il y a un problème. Ce n’est pas comme ça que ça fonctionne et c’est pour ça que nous ne voulons pas de caches de vacances. Parce que c’est généralement une cache qui ne sera pas maintenue, qui est vouée à disparaître.
Voici un exemple où ce fut pire que cela :
- Cache Owner (CO) : Alice & Bob vont s’occuper de la maintenance pour moi.
- Moi : Désolé, mais votre cache est trop proche d’une autre.
- CO : Je ne peux pas la déplacer, j’habite trop loin. S’il-vous plaît, publiez la !
- Moi : Alice & Bob ne peuvent pas déplacer la cache ?
- CO : Ils n’habitent pas non plus à côté.
- Moi : Je suis désolé, mais si personne ne peut la déplacer, personne ne peut non plus la maintenir …
Et la conversation s’aggrave …
- CO : Mais j’ai 3 TB dans cette boite, ils seront perdus à jamais !
The Publisher: Poser une cache de vacances, c’est possible ! Mais il faut nous donner les coordonnées (adresse mail et localisation) d’une personne qui peut assurer la maintenance pour vous. Indiquez le dans une reviewer note avant de soumettre votre cache ! Cette personne peut ne pas pratiquer le geocaching, tant qu’elle est joignable par mail, cela nous convient.
8 – J’ai 20/30/40 caches ou plus à publier pour demain, les voici !
Ça n’arrive pas souvent, mais de temps à autre, je reçois un grand nombre de caches à publier pour un rassemblement ou pour une autre raison. Parfois, cette « autre raison » nécessite que la publication soit effective dans les 12 heures. Petite remarque aux géocacheurs : cela prend du temps et vous n’êtes pas le seul poseur dans la région. Pourquoi les autres devraient attendre à cause de vous ? Il nous faut du temps, prévoyez large !
Il y a également les caches qui doivent être publiées à une date en particulier. Il peut s’agir de caches pour un event ou un anniversaire par exemple. Souvent, les gens ne regardent pas leurs mails, où je leur indique qu’il y a un problème. Et quand ils se rendent compte que la cache n’est pas publiée, il est trop tard. Conclusion : lisez vos mails !
7 – Je dois être le meilleur ami du reviewer, à tout prix
Ne m’appelez pas, ne toquez pas à ma porte (sauf si c’est pour trouver la cache qui s’y trouve). J’aime bien le geocaching et les géocacheurs. Mais il y a des limites. Quand je suis au camp de scout, je me concentre au scoutisme, pareil quand je fais des courses ou quand je suis avec ma famille. Bien que je vous le concède, je fais du géocaching avec ma famille !
Ne devenez pas mes amis sur tous les réseaux sociaux en mentionnant tout le temps le geocaching. Si je poste une photo de mon chien, c’est juste pour le fun, vraiment. Si je suis en train de manger, ne me demandez pas si mon assiette est une cache. Si j’ajoute une photo sur le scoutisme, il y a de grandes chances que ça n’ait aucun rapport avec le géocaching. J’aime parler de geocaching, quand cela est approprié. J’aime aussi la photographie, et j’adore conjuguer mes géo-balades avec la photographie. Cependant, ça devient vraiment bizarre quand vous ne faites que parler que de géocaching.
Ne lisez pas tous mes logs, ne regardez pas toutes mes photos sur le site geocaching.com, et ne me suivez pas en ville. Les injonctions d’éloignements sont difficiles à avoir 🙂
5 – Une longue liste de coordonnées à vérifier
Vous ne le savez peut-être pas, mais vérifier que des coordonnées sont valides prend énormément de temps. Vérifier un ou deux emplacements est raisonnable. Mais vérifier 20 coordonnées est gonflant. Je n’ai pas de formule magique pour le faire. Ceci étant dit, cela pourrait être une bonne idée 🙂
Pour nous faciliter la tâche, vous pouvez créer une cache, sur laquelle vous ajouterez des waypoints additionnels physiques correspondant aux coordonnées à vérifier. À ce niveau là, il n’est pas nécessaire de soumettre la cache à la publication. Envoyez-nous le code GC ou le lien de la cache à vérifier par mail et nous nous en chargerons ! Cela nous aiderait énormément 😉
[EDIT2020] La recommandation serait désormais la suivante (source Miguaine) :
« La solution préconisée : Vous préparez votre cache, vous indiquez dans la « reviewer note » qu’elle n’est pas à publier et que vous voulez savoir si l’emplacement est libre et vous soumettez pour vérification. Votre cache sera examinée par le reviewer qui est disponible et ensuite désactivée avec un message. C’est plus simple pour nous et cela permet que la cache soit traitée par le reviewer disponible à ce moment là plutôt que de mettre la pression sur un reviewer qui n’est pas dispo pour x raisons (vacances, travail, déplacement, etc.). »
4 – La cache commerciale et la cache pour une cause
Je ne souhaite pas argumenter si ces causes sont correctes ou non. Tout le monde a une cause qui lui est chère. Les caches à propos des cancers du sein, des anciens combattants, des élevages d’animaux, Justin Bieber, ou encore l’avortement, sont toutes concernées. Parfois je partage vos convictions, parfois non. Mais notre jeu n’est pas l’endroit où il faut les mettre en avant.
Remarque : Certains se mettent en colère quand on leur indique que leur cache promeut une cause et que l’on leur demande d’enlever une partie de la description pour corriger cela. Généralement, cette colère démontre qu’il y a une cause soutenue par la cache. Pour la plupart des caches sans cause, la demande de modification d’une partie du texte ne provoque pas de telles colères.
The Publisher: De même, faire de la publicité n’est pas permis dans les descriptions des caches. Je suis persuadé que la bière de la micro-brasserie que vous souhaitez mettre en avant est très bonne, mais je ne peux pas publier ce type de cache.
3 – Se plaindre à propos des powertrails, des micros, etc.
Je n’approuve pas les caches, je les publie. Je n’ai pas à statuer que les powertrails sont cools, bien que j’aime les parcourir. Si vous les détestez, rendez-vous sur le forum Groundspeak et argumentez à ce propos. Merci de faire attention au planning fixé sur ces sujets de discussion :
- Lundi : micros
- Mardi : les reviewers sont nuls
- Mercredi : powertrails
- Jeudi : Groundspeak est nul
- Vendredi : quelqu’un m’a supprimé mon log ou m’a volé mon TB
- Samedi : libre à vous de choisir
- Dimanche : remettre au goût du jour les caches virtuelles (ou challenge)
Si la cache est à côté d’une poubelle, n’allez pas la chercher. Si l’endroit est désagréable ou mal odorant, prenez vos jambes à votre cou ! Évitez les caches qui vous dérangent, je ne vous force pas à aller les chercher. Se plaindre ne résoudra rien du tout, surtout à moi !
2 – Parler de manière insultante
M’insulter de noms d’oiseaux ne m’encourage pas à vous apprécier. Il y a peu de chance que je prenne votre défense si vous avez été désagréable avec moi. Quand j’archive une cache, ce n’est pas par plaisir ou pour vous mettre en colère. C’est certainement parce qu’elle n’a pas été maintenue en bon état, qu’elle a été désactivée de manière prolongée ou autre.
Parfois quand j’archive des caches, je fais peut-être des erreurs. Un mail « gentil » peut me faire voir un aspect que j’avais négligé lors de l’archivage. En cas de mail insultant, je ne cherche pas à comprendre et passe au prochain mail.
1 – Seul au monde
Les reviewers ne font pas bénévolement leur travail parce qu’une personne est tellement géniale dans une zone qu’ils n’attendent qu’une chose : publier ses caches et uniquement ses caches.
Quand j’étudie une trentaine de caches, je les étudie séquentiellement, l’une après l’autre. Si je trouve un problème sur l’une d’elle, je la mets en attente et je dois retourner dessus à un moment ou un autre. Si je suis sur mon téléphone, j’attends de rentrer sur mon poste à la maison pour continuer. Si je suis pressé, je vais gérer les caches simples et rapides. Cela vide un peu la file d’attente et donne de la matière aux géocacheurs.
L’objectif est de faire un premier retour sur une cache dans les 72 heures. Certaines peuvent être publiées très rapidement, d’autres non. Si votre cache a un problème, je vous laisse une note et j’attends votre réponse. Il est inutile de venir se plaindre de manière continuelle, par téléphone, messagerie instantanée ou autre. Votre cache sera traitée le plus rapidement possible.
Il est possible que j’ai oublié votre cache. Un mail de rappel suffit, il n’est pas nécessaire de m’inonder.
The Publisher : Il fut un temps, le délai visé pour un premier examen d’une cache était officiellement 72 heures. Depuis l’écriture de cet article en 2011, nous avons constaté un nombre grandissant de publication de caches (un peu moins de 50 000 nouvelles caches en 2014, rien qu’en France). C’est pourquoi ce délai est maintenant de 7 jours, pour pouvoir étudier sereinement chaque cache.
a – Le reviewer est méchant, cynique
Les éléments de réflexion suivants (a et b) ne proviennent pas de l’article mentionné ci-dessus, mais de ma propre expérience depuis que je suis reviewer.
Mon rôle est de guider les poseurs dans le processus de publication de cache. Si votre cache est publiée, j’en suis le premier content. Dans le cas où votre cache pose problème, j’en suis le premier désolé.
Mon rôle est d’étudier votre proposition de cache et de regarder si elle satisfait les guidelines. Dans le cas où un élément ne convient pas, je vous l’indique et je vous demande de modifier votre cache. Je ne fais pas ça par plaisir mais parce qu’il est nécessaire de suivre les règles fixées. D’ailleurs, je n’ai pas fixé ces règles, ce n’est donc pas la peine d’essayer de marchander, ce n’est pas à moi qu’il faut s’adresser.
À bas l’image des reviewers méchants et cyniques qui adorent une seule chose : vous refuser la publication de vos caches ! Nous sommes gentils, si si ! En cas de problème, je n’en suis pas responsable, je ne fais qu’appliquer les règles établies ici : guidelines.
b – La mauvaise foi au rendez-vous
Dans le premier point du top 10, j’indiquais qu’on avait pu accuser les reviewers de tricher au sujet des mysteries. Dans ce point, je couvre l’inverse, quand le poseur triche quand il soumet sa cache.
C’est extrêmement rare, mais il m’est arrivé de mentionner à un poseur que l’une de ses caches pose problème, et qu’il refuse d’accéder à mes demandes. Je le rappelle, je ne suis pas là pour mettre des bâtons dans les roues et je ne suis pas là pour marchander (cf le point précédent). Outre les discussions interminables où le propriétaire ne daigne bouger le moindre orteil, ça se termine parfois quand il accède enfin à mes demandes, pour ensuite modifier la cache directement après publication.
Attention cependant, mon petit doigt me rapporte beaucoup de choses ! Il n’est pas nécessaire de tricher, il y a forcément une solution alternative pour votre cache, mais il est nécessaire de discuter pour la trouver. Se cabrer ne résoudra rien. Je le rappelle, nous sommes là pour publier des caches, pas les recaler.
Ce qui ne me dérange pas
Dans cette partie de l’article, l’utilisation du ‘je’ réfère à l’auteur de l’article original, à savoir Dick Nielson.
Dans les croyances populaires, des personnes pensent que je n’aime pas quand ils font telle ou telle chose. Généralement ce n’est pas le cas.
Faire appel à Groundspeak
Ça ne me dérange pas du tout. Ils font les règles, ils sont à même de les interpréter, voire les assouplir dans votre cas. Mais ce n’est pas à moi de le faire. S’ils décident que c’est OK pour votre cache, je serais le premier heureux pour votre cache. Quand j’indique aux gens de faire appel, la plupart du temps cela reste sans suite. Je pense qu’ils croient que je serais offensé par cela. Ce n’est pas le cas du tout.
Pour faire appel : https://support.groundspeak.com/index.php?pg=kb.page&id=476
Rappels
Je suis parti en vacances, absent pour le week-end, j’ai oublié de mettre votre cache dans ma « watchlist » et je ne suis pas averti de vos notes. Ça arrive ! Un petit mail ne me dérange pas et me permet de revenir sur votre cache. Attention tout de même, avec parcimonie, n’inondez pas ma boite mail !
Me faire remarquer mes erreurs
Nous sommes humains, nous faisons des erreurs. Parfois, une cache a un problème et je ne l’ai pas détecté. N’hésitez pas à me le signaler. Généralement il ne s’agit pas de grosses erreurs qui justifieraient un archivage, donc pas d’hésitation !
Conclusion
Back to me ! J’ai terminé la phase de traduction, je propose une conclusion personnelle dans cette partie.
Les points explicités au dessus, traduits de l’article de Dick Nielson sont intéressants. Je n’ai pas expérimenté l’ensemble des points cités ci-dessus, mon expérience du reviewing est encore assez récente. Pour le moment, mon expérience a été agréable et je tiens à vous en remercier pour cela !
Voici les quelques points à retenir de cet article :
- Les reviewers restent des bénévoles ! Ils font ça par plaisir et surtout pour la communauté. Soyez raisonnables dans vos demandes et donnez leur le temps de traiter la publication de vos caches.
- Nous sommes humains, nous faisons des erreurs et nous sommes prêts à en discuter. Nous restons courtois dans nos échanges, faites de même !
- Nous ne prenons aucun plaisir à vous dire non. Si cela arrive, discutez avec nous pour que nous trouvions ensemble une solution. Nous sommes là pour vous aider dans le processus de publication de cache. Notre objectif est de publier votre cache, pas la refuser.
- Notre rôle est d’appliquer les règles. Parfois cela peut vous paraître un peu trop procédurier, mais nous sommes mandatés pour faire cela. N’hésitez pas à nous envoyer un mail pour savoir si votre idée de cache est réalisable !
En cas d’interrogation, n’hésitez pas à nous contacter. Nous sommes là pour ça !
Voir aussi : Interview de Konaitusa 1ère partie et 2ème partie, interview de Kuzhadwelet
Salut les géocacheurs et géocacheuses !
j’adore cet article, avec plusieurs fois quelques sourires que l’ont pouvait surement voir sur ma figure. J’ai particulièrement adoré le :
Si la cache est à côté d’une poubelle, n’allez pas la chercher. Si l’endroit est désagréable ou mal odorant, prenez vos jambes à votre cou ! Évitez les caches qui vous dérangent, je ne vous force pas à aller les chercher. Se plaindre ne résoudra rien du tout, surtout à moi !
ça m’a fait penser à la mienne http://coord.info/GC4553C ou j’ai eu l’aide de mon frère Messier42 suite à des commentaires et photos plus que « douteux » et surtout très énervant venant de certains qui sont pourtant (vu le nombre de caches trouvées) de très grands géocacheurs. Merci pour cet article
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Bonsoir,
Encore un très bon article. J’aurais juste une remarque sur les caches commerciales. Pourquoi les caches présentes à Disney sont encore actives ? ne parlons pas de l’aerthcache pour un tas de cailloux en plastique !
Pour finir merci au reviewers pour leur travail bénévole. Groudspeak devrait les chouchouter un peu plus à mon avis car c’est grace à eux que la machine tourne 😉
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D’accord avec toi, et curieux de la réponse à Disney 😉
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J’ai un peu tardé à répondre à cette question, veuillez m’en excuser !
Tout d’abord, il faut noter que le changement des guidelines n’est pas rétroactif. Autrement dit, une cache publiée légitimement à un instant t ne sera pas archivée parce qu’elle n’est pas conforme aux guidelines à un instant t+1. Et heureusement, car sinon l’ensemble des caches virtuelles ou webcam devraient être archivées. Mes collègues reviewers me font remarquer que ce modèle est très appliqué aux US. Plus d’explications ici : https://en.wikipedia.org/wiki/Grandfather_clause
Concernant les caches de Disney, elles ont été publiées pour la plupart en 2003. N’étant pas actif à ce moment là, j’imagine fortement que les guidelines permettaient ce type de publication. Si elles avaient été soumises aujourd’hui, elles n’auraient pas été publiées.
Je profite de cette réponse pour parler un peu des caches « commerciales ». Je constate qu’il y a un amalgame populaire entre le fait de devoir payer l’accès à un lieu et l’aspect commercial d’une cache. L’un n’implique pas l’autre et inversement. Pour pouvoir trouver certaines caches, il est nécessaire de payer et cela peut être conforme aux guidelines. La grande question que l’on se pose quand on publie une cache est la suivante : Est-ce que cette cache, au travers de sa description ou du lieu, favorise l’image d’une entreprise ou incite d’une quelconque manière à acheter un produit/service ? Il ne faut cependant pas oublier qu’il est nécessaire d’avoir l’autorisation de placer une cache à cet endroit et nous ne manquerons pas à vous le rappeler !
J’espère que cette réponse, certes tardive, répond à ta question 😉
The Publisher.
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Bonjour,
Cet article est vraiment super mais (parce qu’il y a toujours un ‘mais’) je trouve dommage qu’il faille en arriver à devoir énoncer des choses qui me paraissent pourtant « basiques », simple question de bon sens.
Bon je suis nouveau dans le monde du Géocaching (à peine 1 petit mois), mais avant de m’inscrire j’ai pris la peine de consulter la quasi totalité du site afin de savoir dans quoi je mets les pieds, histoire aussi d’éviter de poser des questions pour le moins idiotes.
Sur mon petit mois d’expérience j’en ai déjà vu quelques unes !
Loin de prétendre connaître tout sur le bout des doigts, je sais où je peux aller chercher l’info. De plus il est plus gratifiant de chercher et trouver une info que de se la faire apporter au creux de la main. Force est de reconnaître que l’on vit de plus en plus dans une société « d’assistés ».
Je constate également que souvent on met le DNF sur le compte d’un tas de trucs, on trouve toujours toutes les bonnes excuses. J’ai déjà quelques DNF, certaines résolues en deux fois, d’autres pas encore, mais je constate que au final le seul responsable c’est moi : mauvaise interprétation, pas bien lu l’astuce, pas lu la description dans sa totalité, etc etc
Je compte bien sûr placer des caches, mais de nouveau j’ai pris la peine de consulter aussi les guidelines et toutes les infos qui pourraient m’être utiles. Deux sont déjà encodées mais je ne les soumettrai qu’à partir du moment où elles seront complètes et contrôlées à 100%
Question de respect envers la (ou les) personne(s) chargée(s) d’à leur tour contrôler que tout est correct.
Il est toujours plus facile de se plaindre, râler et démolir que de construire !
Si je vois des déchets sur une cache, je les ramasse. Si je tombe sur un logbook plein, je le remplace. J’évite de démolir la cache publiquement, au pire j’envoie un petit mail au proprio, après il en fait ce que bon lui semble.
J’en ai même vu loguer « attention ! il n’y a pas de bic….. » ce genre de reflexion me laisse pantois !
Me confectionner un petit kit de « dépannage » fut l’une de mes premières actions en tant que Géocacheur.
En écrivant ces quelques mots, je me rends compte que les reviewers doivent finalement en voir de toutes les couleurs… le simple fait de les savoir « bénévoles » justifie qu’on respecte leur travail et qu’il est de notre devoir de leur faciliter au maximum la vie.
C’est grâce à eux que nous pouvons nous permettent de pratiquer le geocaching, qui, ne l’oublions jamais, n’est qu’un jeu !
=)
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Merci pour tes mots, tout à fait en ligne avec ce que tu écris !
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A reblogué ceci sur B'Cachinget a ajouté:
Intéressant, sérieux et drôle !
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